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Des nombres
1 février 2024

Du bien et du mal

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Du bien et du mal

Pour l’Esprit.

Que dit le livre de la Parole ?

Il nous révèle le processus de création de « l’homme à l’image de Dieu » réalisée par Celui qui est selon Sa Volonté jusqu’à ce qu’Il le réveille. Le Livre de la Parole nous parle uniquement de Sa création.

Des formules scientifiques en lien direct avec le thème développé ont été choisies pour servir de structure à l’ensemble de la construction d’une grandeur et d’une beauté sans pareil.

Il n’y a de Dieu que Dieu. Il n’y en aura pas d’autres.

Evangile de Thomas 

Jésus dit :

« Si la chair est venue à l’existence à cause de l’esprit,

c’est une merveille,

mais si l’esprit est venu à l’existence à cause du corps,

c’est une merveille de merveille.

Mais moi je m’émerveille de ceci :

Comment cet Être qui Est

Peut-il habiter ce néant. »

Avant le commencement Dieu Est. Hier Il Est, aujourd’hui Il Est, demain Il Est. Emanation de lui - même, « Je Suis » se manifeste. Avant d’Etre, Il Est. La mise en forme fabriquée du septième jour, après la pluie, dans le Jardin d’Eden est Vie, est Sa Création qu’Il a faite.

Esaïe : « 43:5 Ne crains rien, car je suis avec toi; Je ramènerai de l'orient ta race, Et je te rassemblerai de l'occident.43:6 Je dirai au septentrion: Donne! Et au midi: Ne retiens point! Fais venir mes fils des pays lointains, Et mes filles de l'extrémité de la terre,

43:7 Tous ceux qui s'appellent de mon nom, Et que j'ai créés pour ma gloire, Que j'ai forméset que j'ai faits 43:10 Vous êtes mes témoins, dit l'Eternel, Vous, et mon serviteur que j'ai choisi, Afin que vous le sachiez, Que vous me croyiez et compreniez que c'est moi:

Avant moi il n'a point été formé de Dieu, Et après moi il n'y en aura point. »

La création se déroule à partir d’un monde divin préexistant.

Dieu ne se contient pas lui – même. Il Est Transcendant. Il Est Un, Entité puissante. Il Est Notre Seigneur, Notre Maître.

Il est Immanent de par son action spirituelle qui s’exerce à l’intérieur d’un être physique hébergeant le Voyageur.

YHVH 

Essence divine en tant qu’Elle se révèle comme Personne Suprême

Celui qui est, origine consubstantielle de Son émanation par la Parole, notre Seigneur et Maître, est l’Unique, le Seul qui de toute éternité donne la Vie selon sa Volonté à ses enfants, à ses témoins. Sa Gloire immense n’a d’égale que Sa Puissance, que sa Science et sa Présence qui illuminent et dominent sa Création.

Quelle est la dimension de Celui qui est puisqu’Il est au-dessus des eaux du dessus?

Celui qui est, lucide dans Sa puissance créatrice selon Sa Volonté est origine consubstantielle de Son émanation par la Parole ainsi que de toutes celles issues de Lui, Ses Enfants « qu’Il veut créer à son image, l’homme et la femme. ».

« Ce que nous observons n’est que l’apparence, l’expression, l’aspect ou les aspects d’autre chose, d’une essence qui est à la fois existence d’un être non être. » S.I

Celui qui est, est-Il en dehors de Sa création ou comme le disent certains en blasphémant sans s’en rendre compte : « le divin se dilue dans la création comme un fluide immatériel, énergie pure ou cosmique » alors que l'énergie ne fait que décrire l'état de quelque chose d'autre ? 

Celui qui est, est la création puisqu’Il la fait et la maitrise selon Sa volonté. Il crée à l’image de Dieu, à l’image de Lui- même dont Il émane. Dieu donne l’être et le non être. Celui qui est donne l’être, la vie selon Sa volonté

Celui qui est a bien créé l’homme à son image, à l’image de Dieu. Il lui a donné l’intelligence et Sa parole. L’Eternel a créé en libérant l’homme né d’en haut de sa réalité-décor par l’action de Son Esprit. Il lui donne l’être.

Jésus, le serviteur choisi par Celui qui est ne s’est pas caché. Il n’a été en rien occulté. Nous ne pouvons plus le voir car personne ne peut voir Dieu face à face de son vivant dans son impureté sans mourir. Jésus, et lui seul reviendra dans sa Gloire. Quand et comment? Nul ne le sait à part Celui qui est.

Sur qui s’appuie Celui qui est pour Sa Création ?

Le peuple Hébreu et Son Envoyé Suprême Jésus-Christ.

L’Ame possède sa propre conscience, une mémoire indépendante, et des pensées distinctes de celles de l’intellect.

Qu’il soit né du ciel ou né de la terre. Qu’il sorte du peuple juif ou non.

« Pour connaître le Divin nous devons toujours connaître les deux éléments de son état ».

En résumé, l’Esprit crée et maintient la structure, l’Ame, elle, la fait fonctionner selon son propre mode. Le corps n’est qu’une façade mobile, malgré tout indispensable à la réalisation des expériences qui nous sont nécessaires.

« Des Intelligences Supérieures ont dissimulé derrière « une approche phénoménologique des cycles intangibles de la nature ou objective, des concepts scientifiques primordiaux. Ainsi, du fait même de ce procédé, l’interprétation de chaque époque restait toujours dans la signification première essentielle du message transmis. » S.I

Bien – Mal

Genèse « 2:6 Mais une vapeur s'éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol.

2:7 L'Eternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant.

 2:8 Puis l'Eternel Dieu planta un jardin en Eden, du côté de l'orient, et il y mit l'homme qu'il avait formé.

2:9 L'Eternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal.

2:10 Un fleuve sortait d'Eden pour arroser le jardin, et de là il se divisait en quatre bras. »

« …. Ils exterminent leurs sœurs, leurs frères, rongent la planète, le véritable Jardin qui pouvait tout donner. L’entretenir et le connaitre suffisaient pour le bonheur terrestre, sans excès, dans l’équilibre….. » S.I

L’homme terrestre a été formé pour être mis dans le Jardin, la terre.

Eden et le Jardin sont séparés, différents. Cependant des liens existent entre eux. « Le fleuve sort d’Eden pour arroser le jardin. » Et c’est une fois dans le jardin que le fleuve se divise en quatre bras.

La terre est « le jardin », une réalité décor pour l’esprit. Eden ou le Jardin de Dieu relève de la destinée des hommes-être faits à l’image de Celui qui est selon Sa Volonté. Il symbolise le point de contact entre les deux aspects de la création. Il est le domaine, la dimension de l’homme céleste et non celui de l’homme terrestre. Il permet, après une transmigration d’Eden, le transfert au Jardin.

Eden relève donc de la dimension des « hommes-être ». Il est un monde parallèle au nôtre, le Jardin, qui, tout en étant différent ou lointain, s'y superpose ou le baigne, et dans lequel les êtres élus, rachetés, choisis ou appelés, peuvent pénétrer à tout moment. 

Eden se trouve être la dimension des eaux au-dessus des eaux séparées par une étendue appelée ciel.

L’Arbre de la vie est au milieu du jardin. La vie n’est donnée par Celui qui estqu’après le transfert de l’homme céleste dans le jardin, sur la terre, dans l’homme terrestre. Le fruit de l’Arbre de la vie est l’homme céleste qui a vaincu l’homme terrestre, qui est « né à nouveau ».

Le fleuve qui sort d’Eden et qui se divise en quatre bras arrose uniquement l’homme céleste semblable  « aux prémices des créatures de Dieu. », une tendance à exister qui sous le seul regard de l’Eternel, le seul Dieu qui donnera ou pas l’image à l’image de Dieu.

Genèse « 2:15 L'Eternel Dieu prit l'homme, et le plaça dans le jardin d'Eden pour le cultiver et pour le garder.

2:16 L'Eternel Dieu donna cet ordre à l'homme: Tu pourras manger de tous les arbres du jardin;

2:17 mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. »

« 2:25 L'homme et sa femme étaient tous deux nus, et ils n'en avaient point honte. »

Ils étaient dans leur première innocence, comme « les prémices des créatures de Dieu. » sous le seul regard de l’Eternel, le seul Dieu. Ils n’étaient pas dans la confusion, dans la honte.

« L’Eternel donne l’Etre puisqu‘ au commencement existait à la fois l’Etre – Non Être. Pour ce faire Il nous donne l’intelligence, la Parole et l’image soit une identité. Il nous donne l’Etre en nous dégageant du non – être. » S.I

Genèse « 3:1 Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l'Eternel Dieu avait faits. Il dit à la femme: Dieu a-t-il réellement dit: Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin?

3:2 La femme répondit au serpent: Nous mangeons du fruit des arbres du jardin.

3:3 Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit: Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez.

3:4 Alors le serpent dit à la femme: Vous ne mourrez point;

3:5 mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.

3:6 La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence; elle prit de son fruit, et en mangea; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea.

« La Tour de Babel représente l’humanité qui veut construire son propre Être en utilisant l’intelligence et la parole acquises et de ce fait veut se donner une image impure que l’Eternel n’accepte pas puisque c’est Lui et personne d’autre qui donne une identité. Jésus l’a également dit. Il disperse Sa Parole. La rend inaccessible aux prévaricateurs. » S.I

Si un homme ne nait d’eau et de l’Esprit Saint, de la Parole transférée de Celui qui est, « il ne peut entrer dans le royaume de Dieu » Jean.

Le serpent, antique symbole des tribus berbères représente l’accès à la connaissance cachée liée à l’eau.

Le serpent qui symbolise l’accès à la connaissance cachée liée à l’eau s’adresse uniquement à la femme. Il est debout. L’Eternel ne l’a pas encore condamné à ramper sur le sol. L’homme est endormi. C’est la femme qui donne à manger à l’homme du fruit de « l’arbre de la connaissance ». La femme est l’épouse, l’eau d’en haut sur laquelle se meut l’esprit de Dieu. Pendant les « noces de cana » comme le dit Jean, Jésus changea l’eau en vin par l’action de la Parole de Dieu qui est également son sang rédempteur. L’eau est consubstantialité. Adam est l’époux ou le fils-père. L’union du fils- père – Adam (l’époux) avec l’eau d’en haut qui donne la consubstantialité- Eve (l’épouse) par la Parole qu’elle porte engendre un fils. Est- il légitime, consubstantiel au Père : un enfant de Dieu. En l’occurrence, non, il s’agit d’un enfant de prévarication totalement illégitime que Celui qui est n’a pas reconnu et qui se veut naitre par lui - même.

Le fruit de l’Arbre de la connaissance du bien et du malet non du bon et du mauvais est nécessaire pour obtenir l’intelligence et l’entendement de la Parole, indispensables à l’homme céleste éveillé. Il n’est en aucune façon destiné à l’homme terrestre. 

Genèse « 3:8 Alors ils entendirent la voix de l'Eternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l'homme et sa femme se cachèrent loin de la face de l'Eternel Dieu, au milieu des arbres du jardin.

3:9 Mais l'Eternel Dieu appela l'homme, et lui dit: Où es-tu?

3:10 Il répondit: J'ai entendu ta voix dans le jardin, et j'ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché.

3:11 Et l'Eternel Dieu dit: Qui t'a appris que tu es nu? Est-ce que tu as mangé de l'arbre dont je t'avais défendu de manger?

3:12 L'homme répondit: La femme que tu as mise auprès de moi m'a donné de l'arbre, et j'en ai mangé.

3:13 Et l'Eternel Dieu dit à la femme: Pourquoi as-tu fait cela? La femme répondit: Le serpent m'a séduite, et j'en ai mangé.

3:14 L'Eternel Dieu dit au serpent: Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie.

3:15 Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon.

3:16 Il dit à la femme: J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi.

3:17 Il dit à l'homme: Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au sujet duquel je t'avais donné cet ordre: Tu n'en mangeras point! le sol sera maudit à cause de toi. C'est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie,

3:18 il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l'herbe des champs.

3:19 C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière.

3:20 Adam donna à sa femme le nom d'Eve: car elle a été la mère de tous les vivants.

3:21 L'Eternel Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit.

3:22 L'Eternel Dieu dit: Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement.

3:23 Et l'Eternel Dieu le chassa du jardin d'Eden, pour qu'il cultivât la terre, d'où il avait été pris.

3:24 C'est ainsi qu'il chassa Adam; et il mit à l'orient du jardin d'Eden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l'arbre de vie. »

Adam et Eve ont entendu la voix de l’Eternel qui ne leur était pas destinée.

L’intelligence n’est-elle pas la faculté de rendre intelligible des liens qui existent entre des événements? N’est-elle pas le résultat d’une synchronisation ? Elle débouche sur la compréhension, la conceptualisation, la rationalisation, l’adaptation, sur le traitement des informations. L’intelligence ne s’adresse pas à la fonction ornementale émotionnelle du cerveau, domaine de la sensation, du ressenti ou de l’intuition qui donne de la « couleur » mais à sa fonction cognitive, celle de la raison, de l’apprentissage, de la mémoire, de la connaissance. Des inter- actions néfastes ont souvent lieu. L’intelligence rend le cerveau ouvert à l’entendement qui devient audible. L’intelligence est-elle portée par le cerveau qui ne fait, pourrait- on dire que calculer ? L’intelligence est-elle la vie ? L’intelligence nous met dans tous les états.

Celui qui a mangé du fruit de l’arbre de la connaissance ne deviendra jamais un fruit de l’arbre de vie. S’étant reconnu par lui-même, donc illégitime et connaissant son origine « divine » de par son élaboration, il s’imagine pouvoir fabriquer sa propre image, sa propre conscience, son propre Être, s’accomplir, se rendre dans la dimension de l’Eternel ou s’en construire une à l’imitation. Seul l’Eternel reconnait ses enfants. Il leurs donne l’image. Alors, seulement, ils se connaissent.

L’homme est dans le temps de sa « propre convoitise ». Il empêche l’élévation de l’homme céleste. Il achuté. Par sa prévarication il bloque l’accès à Eden le  « Jardin de Dieu ».L’homme a été expulsé de la création. Il va maintenant forniquer avec ses machines, va vouloir fabriquer de l’intelligence surannée, son propre simulacre.

Deux mondes, deux dimensions nous sont décrits. Celle des hommes a été formée. Ne pourrions- nous pas écrire que le vivant se réduit au fonctionnement de la matière physique , que la pensée se réduit à la combinaison et à la modélisation par le calcul d’unités d’informations simples donnant lieu aux fonctions mentales cognitives et émotionnelles localisées dans des aires spécialisées du cerveau. En fait tout pourrait se réduire à des propriétés liées à l’atome, ce qui ferait que l’homme est une unité biologique autonome émotionnelle.

Est-ce que le tout est supérieur à la somme des parties ?

Non, rien n’émerge de lui puisque l’homme agit en fonction d’une intelligence individuelle et collective. Comme un algorithme il ne fait que résoudre ou non un problème, apporter à des événements des réponses ou des non réponses qu’il puise dans un champ de probables ou non probables compatibles ou non avec un environnement particulier de sa représentation à un moment donné dont il est l’observateur. L’homme serait donc semblable à un objet mathématique sans existence propre.

Ne sommes – nous pas dans le « transhumanisme » ?

Nous parlons de «  transhumanisme » qui est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l'usage des sciences et des techniques, ainsi que les croyances spirituelles afin d'améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains. Les « transhumanistes » ne croient pas en l’âme humaine, sont athées, recherchent l’immortalité (sauvegarde pensée humaine sur des supports informatiques), nient la différentiation sexuelle homme-femme, prêchent la théorie du genre, veulent fabriquer un surhomme avec des super pouvoirs. L’humanisme en tant que tel n’existe plus.

La conquête contemporaine de l’Eden, l’accès à cette dimension par les prévaricateurs est maintenant venue « Vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal»

Actuellement, la technologie aidant, l’homme se prend pour Dieu.

Les « transhumanistes » soutiennent que l’émergence et la convergence de techniques telles que la nanotechnologie, la biotechnologie, les techniques de l’information et de la communication et la science cognitive ainsi que d’hypothétiques sciences futures comme la réalité simulée, l’intelligence artificielle forte, le téléchargement de l’esprit et la cryonique font que les humains peuvent et doivent utiliser ces techniques pour devenir plus que des humains, « être augmentés ».  

Souviens- toi ! Hitler, fils monstrueux des ténèbres, a voulu exterminer dans sa totalité nos sœurs et frères juifs dans le but avoué de détruire « l’homme du Livre créé par la volonté de Dieu » pour le remplacer par « l’homme nouveau » qu’il voulait fabriquer selon sa propre convenance ou volonté de puissance.

Dans ce temps « l’homme nouveau » prend l’appellation de « l’homme augmenté ». Méfie- toi ! La finalité d’une telle démarche est toujours la même. L’homme n’est que méchanceté et violence.

Genèse « 3:24 C'est ainsi qu'il chassa Adam; et il mit à l'orient du jardin d'Eden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l'arbre de vie. »

« Ce que nous observons n’est que l’apparence, l’expression, l’aspect ou les aspects d’autre chose, d’une essence qui est à la fois existence d’un être non être. » S.I

« Seule l’observation de ce monde est à même de le rendre tangible et objectif. C’est divin. »S.I

Un autre monde existe, le monde de Celui qui Est.

Nous sommes dans le monde de l’être non être, des états juxtaposés, celui de la tendance à exister. Toutes les possibilités non possibilités sont présentes. Seule une observation en fixe une, le temps d’une observation, tout s’effondre. Rien n’est fixé, rien n’est établi. L’éventualité se consolide dans sa décohérence, interaction incohérente, perte de liberté. C’est un décor, une illusion. Cette réduction n’est qu’un aperçu de sa réalité. Sa physique a changé. Mais pourquoi plus un état qu’un autre ?

Celui qui Est, notre Seigneur et Maître peut lui seul s’Il le désire donner l’Etre, l’Etat qu’Il souhaite. Il est l’Observateur conscient de ce qu’Il veut.

L’état représente des informations intelligibles sur lui. La décohérence fait que les différents états sont mutuellement distinctifs ce qui implique qu’un état physique ne prend qu’une seule et unique valeur. De ce fait les autres informations sont inconnaissables. L’unique découle de l’élimination mutuelle, conséquence de la décohérence. De l’ensemble des états possibles visibles tous en même temps, un seul apparait net et nettoyé. Pourtant, il ne représente que lui-même. 

« En fait toutes les possibilités du dé sortent. Nous n’en percevons qu’une, déterminée par notre position qui marque une valeur compatible avec toutes les autres qui découlent de cette position. » S.I

Cependant la structure de l’état observable unique, pur, ne doit-il pas l’être dans le monde de Celui qui Est, l’expression physique d’un être non être n’étant qu’une singularité éphémère, qu’un passage obligé, qu’un support à la réalisation du « plan Divin », qu’à l’acquisition d’une identité compatible, de la bonne et véritable image donnée par la « Parole de Dieu ». Un ensemble d’informations ? Le vecteur s’élève. La Vie n’est pas dans l’éphémère.

Le mécanisme qui "élit" l'état final, en l’occurrence l’être ou le non - être échappe à la théorie de la décohérence. Or, le principe de simplification des états juxtaposés énonce que l'état final est bien projeté sur une et une seule valeur.

Par qui ? Nous le savons : par Celui qui est.

Qui décide qu'une synchronie est justifiée?

L’intelligence, celle qui ouvre sur la Vie, n’est pas acquise. Elle est donnée.

A tout le monde ?

Pourquoi voulez-vous qu’elle le soit !

La multitude se contente de faire des opérations finies à partir d’une globalité, d’un décor, d’une matrice définie remplaçable. Chaque élément de cette multitude ne peut être que ce qu’il peut être, ni plus, ni moins. Elle rejette systématiquement Celui qui est, le Seul qui donne l’intelligence. La multitude n’est qu’une spécificité, très, très loin de l’universel.

Vouloir vivre en soi de toute éternité est une illusion. La mort n’accèdera jamais à la Vie. C’est le seul crime contre l’Esprit qui ne sera jamais pardonné. Vouloir le remplacer. Cela ne se peut.

Genèse « 3:21 L'Eternel Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit.

3:22 L'Eternel Dieu dit: Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement.

3:23 Et l'Eternel Dieu le chassa du jardin d'Eden, pour qu'il cultivât la terre, d'où il avait été pris.

3:24 C'est ainsi qu'il chassa Adam; et il mit à l'orient du jardin d'Eden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l'arbre de vie. »

Nous comprenons mieux maintenant pourquoi Dieu préfère le cadeau d’Abel le berger, le nomade à celui de Caïn, le sédentaire, dont le cadeau est issu de la conséquence de la prévarication, du travail de la terre. Nous sommes des voyageurs qui vivons momentanément dans des cabanes la tête dirigée vers les étoiles. 

Le bien c’est la Vie. Le céleste. Dieu s’est fait homme.

Le mal c’est la mort. Le terrestre. L’homme s’est fait dieu.

Comme le dit jésus :     

« Heureux le lion que l’homme mangera ;

  le lion deviendra homme.

  Malheureux l’homme que le lion mangera,

  l’homme deviendra lion. »

Que comprendre ?

La première proposition nous dit que c’est le lion qui sera heureux de se faire manger par l’homme par ce qu’il deviendra homme.

Paul – 1 Corinthiens

« 15:46 Mais ce qui est spirituel n'est pas le premier, c'est ce qui est animal; ce qui est spirituel vient ensuite.

15:47 Le premier homme, tiré de la terre, est terrestre; le second homme est du ciel. »

L’homme terrestre, psychique accueillera le lion (se faire manger par l’homme), messager du soleil pour qu’il puisse devenir homme céleste. Un lien, une communication est établie.

La deuxième proposition nous dit que c’est l’homme qui sera maudit par ce qu’il se sera fait manger par le lion qui de ce fait deviendra l’homme, comme lui.

Vouloir vivre en Soi (se laisser manger par le lion) de toute éternité n’est que prévarication qui condamne à la mort certaine. Vouloir utiliser le lion est un crime contre l’Esprit.

Que dire ?

Le lion souverain, Maître de Justice assure avec discernement par l’arche le passage de la parole donnée, portée par la lumière au 1er homme, l’homme terrestre qui donnera le jour au 2ème homme, homme céleste.

Le combat sera rude pour délivrer l’Etre endormi. Ne pas devenir une proie pour les prédateurs.  Il ne s’agit plus de maîtriser ses passions, ses émotions,  de les canaliser. Le lion le fera. Il s’agit de les neutraliser totalement, de les brûler. Le lion nous aidera dans sa miséricorde à acquérir cette chasteté, nid douillet pour la colombe. Cependant soyons vigilants, respectueux, humble, gardons nos distances, ne nous prenons pas pour ce que nous ne sommes pas,  autrement dit craignons Celui qui Est. Les Templiers ne l’auraient – il pas craint suffisamment ? Exister pour servir, rien d’autre ! « Introïbo ad altare dei »,( Je monterai à l’autel de Dieu)  petite phrase dont le sens nous échappe souvent devient le but à atteindre et empli de joie, l’espérance disparaît, l’amour devient notre source de vie. Dans la bonté engageons – nous et n’attendons rien en retour, ce ne serait que « vanité et poursuite du vent...le bon meurt de sa bonté comme le méchant de sa méchanceté. » L’Ecclésiaste lorsque l’on vit dans le mensonge.

Une situation semblable à l’épisode de Noé avant le déluge se met en place à nouveau.

Nous retrouvons également comme en Genèse- création :

« 2:5 aucun arbuste des champs n'était encore sur la terre, et aucune herbe des champs ne germait encore: car l'Eternel Dieu n'avait pas fait pleuvoir sur la terre, et il n'y avait point d'homme pour cultiver le sol.

2:6 Mais une vapeur s'éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol.

2:7 L'Eternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant.

2:8 Puis l'Eternel Dieu planta un jardin en Eden, du côté de l'orient, et il y mit l'homme qu'il avait formé. »

« la plaine du Jourdain entièrement arrosée » « c’était comme un Jardin »

Serait – ce une nouvelle mise en garde ? L’humain serait- il incapable de se corriger ? Est-il un bygone ? Sommes-nous dans un cycle ? L’humain étant ce qu’il est, prisonnier de sa convoitise innée, son histoire ne peut que se répéter de génération en génération. Arrivé au bout de sa prévarication après avoir détourné son intelligence, l’homme disparaitra du fait de sa trop grande science. L’Atlantide ?

L’homme ne plantera jamais son propre arbre de vie dans une dimension qui n’est pas la sienne. Il sera dévoué par interdit. Jamais il ne franchira les portes par lui-même.

Son passage dans la création ne laissera aucun souvenir, si ce n’est que l’on dira de lui qu’à une époque, on ne sait plus laquelle, il existait une planète, on ne sait plus où elle se trouve,  qui n’était que méchanceté et violence. Et on pensera, oublions vite ce funeste épisode qui avait vu rejeter la Vie au profit de la mort, résultat d’un orgueil sans commune mesure.

L’émanation qui a transmigré doit se transformer et la matière anéantie au moment de son retour en Esprit. Il s’agit d’un symbolisme scientifique.

Pour l’homme terrestre

Livre de la Sagesse - Chapitre 13

« 01 Ils sont foncièrement insensés, tous ces hommes qui en sont venus à ignorer Dieu :à partir de ce qu'ils voient de bon, ils n'ont pas été capables de connaître Celui qui est ;en examinant ses œuvres, ils n'ont pas reconnu l'Artisan.

02 Mais c'est le feu, le vent, la brise légère, la ronde des étoiles, la violence des flots, les luminaires du ciel, gouverneurs du monde, qu'ils ont regardés comme des dieux.

03 S'ils les ont pris pour des dieux à cause de la beauté qui les a charmés, ils doivent savoir combien le Maître de ces choses leur est supérieur, car l'Auteur même de la beauté est leur créateur.

04 Et s'ils les ont pris pour des dieux à cause de la puissance et de l'efficacité qui les ont frappés, ils doivent comprendre à partir de ces choses combien Celui qui les a faites est plus puissant.

05 Car la grandeur et la beauté des créatures font, par analogie, découvrir leur Auteur.

06 Et pourtant, ces hommes ne méritent qu'un blâme léger; car ils ne s'égarent peut-être qu'en cherchant Dieu avec le désir de le trouver :

07 ils poursuivent leur recherche en étant plongés au milieu de ses œuvres, et ils se laissent prendre aux apparences, car ce qui s'offre à leurs yeux est si beau !

08Encore une fois, pourtant, ils ne sont pas excusables.

09 S'ils ont poussé la science à un degré tel qu'ils sont capables d'avoir une idée sur le cours éternel des choses, comment n'ont-ils pas découvert plus vite Celui qui en est le Maître ? »

Galates

« 5:17 Car la chair a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit en a de contraires à ceux de la chair; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez.

5:18 Si vous êtes conduits par l'Esprit, vous n'êtes point sous la loi.

5:19 Or, les œuvres de la chair sont manifestes, ce sont l'impudicité, l'impureté, la dissolution,

5:20 l'idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes,

5:21 l'envie, l'ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d'avance, comme je l'ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n'hériteront point le royaume de Dieu.

5:22 Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance;

5:23 la loi n'est pas contre ces choses.

5:24 Ceux qui sont à Jésus-Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs.

5:25 Si nous vivons par l'Esprit, marchons aussi selon l'Esprit. »

Matthieu « 5:17 Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir.

5:18 Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. »

La loi est nécessaire pour la chair mais pas pour ceux qui sont en esprit à Jésus Christ. La loi purificatrice qui sépare le pur de l’impur, le sacré du profane est nécessaire pour le passage en Esprit dans la dimension de Jésus Christ qui parle en Esprit à l’Esprit.

La nouvelle loi ne peut être que celle de l’Amour.

Quels sont donc les attributs de l’Amour pour Paul ?

« L’Amour est patient,  plein de bonté;  n'est point envieux;  ne se vante point,  ne s'enfle point d'orgueil, ne fait rien de malhonnête, ne cherche point son intérêt,  ne s'irrite point,  ne soupçonne point le mal, ne se réjouit point de l'injustice, mais se réjouit de la vérité Il excuse tout,  croit tout,  espère tout,  supporte tout. L’Amour ne périt jamais. » 

La chair

1Thimotée « 4:1 Mais l'Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s'attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons,

4:2 par l'hypocrisie de faux docteurs portant la marque de la flétrissure dans leur propre conscience,

4:3 prescrivant de ne pas se marier, et de s'abstenir d'aliments que Dieu a créés pour qu'ils soient pris avec actions de grâces par ceux qui sont fidèles et qui ont connu la vérité.

4:4 Car tout ce que Dieu a créé est bon, et rien ne doit être rejeté, pourvu qu'on le prenne avec actions de grâces,

4:5 parce que tout est sanctifié par la parole de Dieu et par la prière.

4:6 En exposant ces choses aux frères, tu seras un bon ministre de Jésus-Christ, nourri des paroles de la foi et de la bonne doctrine que tu as exactement suivie.

4:7 Repousse les contes profanes et absurdes. »

Col (2.8-9) « Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ. Car en lui [Jésus] habite corporellement toute la plénitude de la divinité. »

Le séducteur fabrique sa propre doctrine. Il met l’homme au milieu de l’homme. Chacun a sa propre vérité comme il le dit dans une arrogance orgueilleuse. Chacun voudra marcher selon sa propre convoitise. Le séducteur rejette la Parole de Celui qui est, qui, n’en déplaise aux nains de l’esprit est la seule et unique Parole de vérité, de réalité, de Vie.

Le séducteur organise la prévarication. Je suis comme Celui qui est, je peux donner la vie éternelle.

Le séducteur s’oppose à la création de Celui qui est.

Malheur à tous ceux qui s’accaparent le pouvoir spirituel en se proclamant dépositaires de la Connaissance pour asservir à leurs profits le peuple de Dieu. Ce sont des nicolaïtes.

« L’homme n’agit que par rapport, je dirai, à un modèle standard évolutif. L’homme n’est ni foncièrement bon, ni foncièrement mauvais. Il n’est que ce qu’il est. Il ne se meut d’une façon autonome que dans un champ émotionnel de facultés qui lui est propre. Il ne fait ou pas que ce qu’il peut faire ou pas dans un champ aléatoire statistique de probabilités en conformités causales. Rien d’autre. Oserai – je parler de langage machine ! Démontrez – moi le contraire ! L’homme ne parle plus d’humanisme. Il parle de transhumanisme. Il se considère lui-même comme une machine que l’on peut manipuler, que l’on peut régler. » Le Livre

Actuellement, la technologie aidant, l’homme se prend pour Dieu.

Les « transhumanistes » soutiennent que l’émergence et la convergence de techniques telles que la nanotechnologie, la biotechnologie, les techniques de l’information et de la communication et la science cognitive ainsi que d’hypothétiques sciences futures comme la réalité simulée, l’intelligence artificielle forte, le téléchargement de l’esprit et la cryonique font que les humains peuvent et doivent utiliser ces techniques pour devenir plus que des humains.     

Voilà les Nicolaïtes. Souriez, les chérubins sont là.

L’humanité est devenue une bête prévaricatrice.

« L’humanité redevient un repère de vipères, adore à nouveau le veau d’or, se prend pour Dieu. Le cou de plus en plus raide, elle met en péril l’harmonie nécessaire à toute élévation. Les adorateurs des idoles pullulent. Leur amour n’est que fornication et prostitution. Leur or transmutera en plomb fondu qui brûlera leurs entrailles. » S.I

 « L’humanité est adultère. Elle a oublié Celui qui Est, le trompe avec elle-même, met en danger la construction du Temple. » S.I

« L’homme n’est pas la valeur suprême. Il n’est en rien la finalité ultime de la création qui soi-disant tendrait vers lui. Le pauvre ! Que d’arrogance et de suffisance ! Il veut devenir son propre maître, s’épanouir librement dans son humanité, dans ses propres facultés. Il a la prétention à dire qu’il s’explique lui-même. Il n’a pas encore compris qu’il est lié à sa planète. Il vivra « tant que la terre subsistera ». Dans le cas contraire il disparaitra. Son passage dans la création ne laissera aucun souvenir, si ce n’est que l’on dira de lui qu’à une époque, on ne sait plus laquelle, il existait une planète, on ne sait plus où elle se trouve,  qui n’était que méchanceté et violence. Et on pensera, oublions vite ce funeste épisode qui avait vu rejeter la Vie au profit de la mort, résultat d’un orgueil sans commune mesure. » Le Livre

« Passé, futur, présent, passé, futur, présent tout est illusion. Seul le support persiste. Le présent n’est qu’une écriture, un décor. Celui qui Est,  écrit selon Ses règles. Il est le Maître de toute chose. Il peut à tout moment écrire. Il dirige tous les moments. Ils n’ont aucune existence propre.  Les caractères de son écriture sont éphémères selon Son bon désir. Ils restent toujours les mêmes. Ils ont jeté des pierres, puis de la poudre, puis des atomes. Ils ont toujours jeté. Ils ont bu de l’eau, puis du vin, puis de l’esprit du vin sans nom. Ils ont toujours bu. Ils se sont battus entre eux, entre tribus, entre peuples. Ils se sont toujours battus. Ils ne font qu’une seule chose. Elle est toujours la même. Elle se répète à l’infini de générations en générations comme un cerceau qui tourne autour de son axe. Le cerceau tournera tant que l’encre coulera de la plume. Mot après mot, un mot succède toujours à un autre mot. Impossible de le corriger, ce qui est écrit est écrit, ce qui est lu a été lu et sera relu. L’homme n’influera en rien sur la Création et n’y participera en rien. Aucune perfection ne demeure en lui. Aucune universalité ne réside en lui. Il est « vanité et poursuite du ventLe Livre

« La loi c’est ce que nous faisons »

Il s’agit là de l ‘ évocation de la règle principale de notre adversaire, de Satan comme l’appelle Jésus, qui s’ouvre justement sur une liberté totale, qui veut nous couper de Celui qui Est dans sa Gloire. Tant pis pour ceux qui ont adoré le séducteur, il arrive pour exaucer tous leurs désirs, l’épée à la main pour libérer les bêtes sauvages qui les dévorent, pour dévaster tous les semis de leurs espoirs, flatter toutes leurs perversions, toutes leurs dépendances, les asservir dans l’abolition de tous les interdits, leur enlever toute identité, les « indifférencier ».  La Géhenne sera leurs demeures, loin de notre Seigneur et Maître.

La loi c’est que nous faisons. Dans ce cas nous nous soumettons volontairement au grand séducteur, à l’adversaire. Il nous dit vous serez comme Dieu.

L’homme a été chosifié. Celui qui est a été chosifié, devenu produit « marketing ». Ils ont été défigurés, le couple altérité - unité rompu. Tous les beaux phraseurs intellectuels se réjouissent d’avoir expulsé Celui qui est de nos pensées.

Qu’ont mis les nations à la place ? La vie terrestre a été déifiée comme étant l’immanence de la matière. Elle se suffit à elle - même dans un cosmos sans issue où le divin n’a rien à y faire. Le monde donné se suffit à lui - même. En mourant nous rejoignons cette vie qui malgré tout remplace Celui qui est, et cette vie déifiée, sans cesse nous renvoie dans la matière pour témoigner de sa présence. Pauvre philosophie inintelligente, médiocre et dérisoire! Comment peut – on être aussi orgueilleux ? Quelle incompréhension ! Celui qui est, est rejeté dans l’oubli. Il est moqué, méprisé. Arrogant et suffisant l’ego libéré dans la folie de son narcissisme entraine l’homme dans son anéantissement.

Les adorateurs de Mammon se déchainent. Ils deviennent des criminels économiques contre leurs semblables, contre l’humanité toute entière. Ils rejettent l’économie naturelle, la seule garante du bonheur humain et du respect de la planète Terre qui a été mise à leur disposition.

Le chiffre profit, hideux dans sa logique a crucifié le mot sur son indifférence. Son idiome est impénétrable, c’est un barbare implacable. Il ne connaît pas la haine. Il calcule. Il ne connait pas l’amour. Il calcule. Il ne connait pas la souffrance. Il calcule. Il ne connait pas la compassion. Il calcule. Il ne connait pas le bonheur. Il calcule. Il ne connait pas la paix. Il calcule. Il ne connait pas la guerre. Il calcule. Il ne connait pas la différence. Il calcule. Il ne connait pas la planète Terre, le Jardin des hommes. Il calcule. Il ne connait pas l’Homme. Il calcule. Il ne connait pas Celui qui est. Il calcule. Il ne connait qu’une seule règle répugnante : « le profit, » « faire de l’argent ».

Le séducteur, loup masqué, parle le « novlangue ». Il va soumettre l’homme à croire le contraire de ce qui est en toute conscience pour oublier que cela n’a jamais été le cas. Sous couvert d’un syncrétisme unificateur fraternel s’installe dans la confusion une pensée totalitaire mortifère.

Le profiteur n’a pas d’identité. Toutes les différences lui sont inconnues. Dans son indifférence, il les rejette toutes, il les accepte toutes. La planète est sa demeure. Les profiteurs en sont ses membres, libres dans leur « richesse » acquise. Riche est son identité. Pour les autres, les « pauvres »,  la planète est un vaste camp de concentration. Il faut détruire les dévoreurs de dividendes, les inutiles. Il doit payer pour avoir le privilège de travailler.

« L’indifférence règne en maître. Plutôt lui que moi ! Violences et méchancetés pour le profit de quelques-uns, la force brutale gouverne. Où se trouve l’économie d’une telle vie ? » Le Livre   

Le séducteur veut s’opposer à Celui qui est, à Sa Création. Il ne le peut. Il sera dévoué par interdit, ses adorateurs aussi.

« Le cupide mourra seul. Il tuera son âme. Il deviendra moins qu’un animal qui lui ne vit que comme il doit vivre. » Le Livre

Si ce monde est empli de « méchants » du fait même du monde, changer de monde ne serait-il pas une nécessité absolue ? Pourquoi ? L’harmonie ne serait plus. L’élévation serait rendue impossible. Que deviendrait ce monde abandonné ? Disparaitrait-il de lui-même ? Aurait-il encore de l’intelligence ?

« L’homme n’influera en rien sur la Création et n’y participera en rien. Aucune perfection ne demeure en lui. Aucune universalité ne réside en lui. Il est « vanité et poursuite du vent. » Le Livre

« L’humanité est adultère. Elle a oublié Celui qui Est, le trompe avec elle-même, met en danger la construction du Temple.

Tant pis pour elle, à cause d’elle, les rapports changeront. Elle se condamne à mort. Une autre construction naitra. Elle est en train de naitre.

Tous les moqueurs, tous les contempteurs seront punis.

Ses derniers amis seront sauvés. » S.I

« L’homme a perdu la foi. Son orgueil n’a d’égale mesure que sa méchanceté et sa violence. » Le Livre

Du bien – du mal

Daniel « 5:23 Tu t'es élevé contre le Seigneur des cieux; les vases de sa maison ont été apportés devant toi, et vous vous en êtes servis pour boire du vin, toi et tes grands, tes femmes et tes concubines; tu as loué les dieux d'argent, d'or, d'airain, de fer, de bois et de pierre, qui ne voient point, qui n'entendent point, et qui ne savent rien, et tu n'as pas glorifié le Dieu qui a dans sa main ton souffle et toutes tes voies.

5:24 C'est pourquoi il a envoyé cette extrémité de main qui a tracé cette écriture.

5:25 Voici l'écriture qui a été tracée: Compté, compté, pesé, et divisé.

5:26 Et voici l'explication de ces mots. Compté: Dieu a compté ton règne, et y a mis fin.

5:27 Pesé: Tu as été pesé dans la balance, et tu as été trouvé léger.

5:28 Divisé: Ton royaume sera divisé, et donné aux Mèdes et aux Perses. »

« Mene, Menel, Tekel, Upharsin »  

L’Eternel a écrit sur le mur de ta conscience, sur les ruines de ta maison.

« Mane – thecel – pharès  »   compté, pesé, divisé,

L’Eternel a compté ta présence. Tu es arrivé au bout.

Il t’a pesé. Tu es déficient.

Il t’a divisé. Tu es éparpillé.

Tu as été compté, toi le comptable.

Tu comptes, tu comptes. Le chiffre profit, hideux dans sa logique t’a rendu indifférent. Son idiome est impénétrable, c’est un barbare implacable. Il ne connaît pas la haine. Il calcule.

Ton profit Lui est en horreur, toi le criminel économique contre tes semblables. Tu n’es que « vanité et poursuite du vent ». Tes marchés de dupe ne sont que cupidité et mort. Le veau d’or, c’est plus fort que toi. Tu ne peux pas faire autrement.

Toi Qui Es, Maître incontesté de Ta Création, Tu guideras notre quête. Sans Toi, où suis-je ? Nulle part ! Je ne suis rien. Loin, très loin, je suis trop loin.

Semblable au danseur, tu t’es gavé des richesses étalées. Tu as sombré dans l’iniquité. Tu as oublié Celui qui Est. Le joueur de flûte viendra. Il nettoiera la « Ville de l’Eternel. » de tous les moqueurs, de tous les contempteurs, de tous les illusionnistes. Le funambule tombera de son fil. Ta maison de paille brûlera. Tu mets en danger la construction du temple, celui que tu penses bâtir seul dans ta prévarication.

Tu veux te donner une identité inaccessible que seul l’Eternel accorde. Il est le Seul à pouvoir octroyer l’intelligence, la parole et l’image. Tu ne fais que te reproduire sur un territoire que tu dis être à toi pour tenter d’en dominer toutes les autres créatures. Ton amour n’est que fornication. Ton activité s’organise autour de ton entre jambe. Tu ne portes même plus les caleçons de lin que l’Eternel t’a donné. Tu ne veux que perpétuer ta lignée. Au diable tous les autres. Répression - épuration – extermination voilà ta trinité infernale. Ta nature est homicide. L’harmonie n’est plus.

Tu « es un animal à deux pieds, sans plumes. » Platon

Ses derniers amis seront sauvés.

Grande digression par rapport au rite de stricte observance.

« Le mal se reconnaît aussi bien par un côté agréable que le bien parun aspect désagréable, un Maçon se doit de s’y consacrer précisément. »

Je commencerai ma réflexion en vous faisant partager un conte : Est-ce un bien, est-ce un mal?

Un paysan Chinois suscitait la jalousie des plus riches du pays parce qu’il possédait un cheval blanc merveilleux. Chaque fois qu’on lui proposait une fortune pour l’animal, le vieillard répondait : Ce cheval est beaucoup plus qu’un animal, pour moi, c’est un ami, je ne peux pas le vendre. »

Un jour, le cheval disparut. Les voisins rassemblés devant l’étable vide donnèrent leur opinion : « Il était prévisible qu’on te volerait ton cheval. Pourquoi ne l’as-tu pas vendu ? « Le paysan se montra plus dubitatif:« N’exagérons rien, dit-il. Disons que le cheval ne se trouve plus dans l’étable. C’est un fait. Tout le reste n’est qu’une appréciation de votre part. Comment savoir si c’est un bonheur ou un malheur ? »

Les gens se moquèrent du vieil homme. Ils le considéraient depuis longtemps comme un simple d’esprit. Quinze jours plus tard, le cheval blanc revint. Il n’avait pas été volé, il s’était tout simplement sauvé et présentement ramenait une douzaine de chevaux sauvages avec lui. Les villageois s’attroupèrent de nouveau.« Tu avais raison, ce n’était pas un malheur mais une bénédiction. »

« Je n’irai pas jusque-là, fit le paysan. Contentons-nous de dire que le cheval blanc est revenu. Comment savoir si c’est une chance ou une malchance ? »

Les villageois se dispersèrent, convaincus que le vieil homme déraisonnait. Recevoir douze chevaux était indubitablement un cadeau du ciel. Qui pouvait le nier ?

Le fils du paysan entreprit le dressage des chevaux sauvages. L’un d’eux le jeta à terre et le piétina. Les villageois vinrent une fois de plus donner leur avis : Pauvre ami ! Tu avais raison, ces chevaux sauvages ne t’ont pas porté chance. Voici que ton fils unique est estropié. Qui donc t’aidera dans tes vieux jours ? Tu es vraiment à plaindre. »

« Voyons rétorqua le paysan, n’allez pas si vite. Mon fils a perdu l’usage de ses jambes, c’est tout. Qui dira ce que cela nous aura apporté ? La vie se présente par petits bouts, nul ne peut prédire l’avenir. »

Quelques temps plus tard, la guerre éclata et tous les jeunes gens du pays furent enrôlés dans l’armée, sauf l’invalide.  « Vieil homme, se lamentèrent les villageois, tu avais raison, ton fils ne peut plus marcher, mais il reste auprès de toi tandis que nos fils vont se faire tuer. »

« Je vous en prie, répondit le paysan, ne jugez pas hâtivement. Vos jeunes sont enrôlés dans l’armée, le mien reste à la maison, c’est tout ce que nous puissions dire. Dieu seul sait si c’est bien ou mal. »

Quelques mois plus tard, la guerre se termina. Certains n’en revinrent pas. D’autres rentrèrent, couverts de gloire et chargés d’un riche butin de guerre.- Tu n’as pas de chance, dit le voisin, ton fils n’est pas revenu riche de la guerre.

- Est-ce une chance est-ce une malchance ? Qui peut le savoir ? dit le paysan. Richesses vite accumulées, richesses vite dilapidées dit le proverbe. Et la misère revint, encore plus dure à supporter après une période d’abondance.

- Tu as de la chance, dit le voisin. Ton fils n’est pas rentré riche de la guerre, mais il n’est pas tombé dans cette misère noire et déprimante où sont en train de sombrer nos propres enfants.- - Est-ce une chance, est-ce une malchance, dit le vieux paysan. Qui peut le savoir ?

Au travers de ce conte, nous avons la démonstration que les réponses ne sont pas aussi évidentes que l’on croit.

Voyons notre Rituel ! Dès que l’impétrant frappe à la porte, le VM demande au F préparateur « Votre présentation doit avant tout comprendre les points suivants après l’avoir interrogé sur son nom, son prénom, son âge, sa religion, son lieu de naissance, son activité profane et son lieu de résidence.

a - Questionnement honnête sur le motif et l’origine véritables du souhait de devenir Maçon.

b - Enquête sur la passion dominante du Récipiendaire, d’une véritable perception modeste des inconvénients à redouter liés aux dangers d’un tel lien ainsi que de l’état de Maçon dans le monde. »

Ainsi il y a du « bien » à entrer en maçonnerie mais également du « mal » par les dangers encourus. Notion de choix…notion d’abandon d’une voie, l’avantage à court, moyen, long terme, est-il le même ? est- ce que j’ai tous les éléments en main pour prendre la bonne décision ? L’impétrant qui en 1936 entrait en maçonnerie pouvait il imaginer que quelques années plus tard il soit fusillé pour cette même raison.

Bien sûr il convient de faire en sorte que la voie choisie soit la plus intéressante la plus proche de « notre Bien » mais seul le temps le dira, et tranchera sur ce qu’il convenait de faire. La sagesse c’est peut-être d’accepté de s’être trompé sans pour cela avoir de l’amertume. Prenons des exemples extrêmes qui peuvent choquer, mais c’est le but : secouer les âmes/ Vous voilà prévenu ! :

Grace à Hitler l’Allemagne à un réseau autoroutier encore aujourd’hui des plus performants.

Grace à la Shoa le peuple d’Israël a un pays.

Mais A cause d’Israël le peuple palestinien est un peuple sans patrie….      

Où est le bien, ou est le mal dans tout cela ?

Dans le discours de l’Orateur il est ajouté à la phrase objet de l’étude que je rappelle  « Le mal se reconnaît aussi bien par un côté agréable que le bien parun aspect désagréable, un Maçon se doit de s’y consacrer précisément. »

On ne lui demande pas forcément, surtout dès ce grade, d’avoir la sagesse de faire la part des choses et de desceller le bien du mal et les différentes arcanes qui feraient du « bien » quelque chose de « mal » ou inversement. On lui demande simplement d’envisager que c’est une possibilité ! que rien n’est définitif, que les certitudes sont dangereuses, un temple aussi beau que celui de Jérusalem peut être détruit,  que ce qui contribue à sa grandeur peut un jour avoir l’effet inverse. Rien n’est sur et définitif, …..sinon la bêtise humaine comme aimait à plaisanter EINSTEIN.

L’ Orateur nous invite à faire la part des chose en disant : «  Ainsi, nous vous avons octroyé le calme et la tranquillité afin de vous concentrer sur vos réflexions qui doivent être menées pour juger de toutes les passions, idées pertinentes et préjugés qui peuvent être émises, que tout soit vérifié, réfléchi et jugé précisément avant de se décider à une quelconque action. » ou réfléchissez dans le calme, le repos, sans emportement ni fougue, avec un esprit ouvert, sans idées préconçues qui caractérisent l’examen, le jugement, la méditation avant toute prise de  décision.

Ma grand- mère aurait traduit par « tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de parler ».  C’est une invitation à la prudence, mais aussi à l’inverse, une invitation à défendre nos croyances, notre avis, devant ce que les autres nous présente comme « ce qui doit être » En effet malgré leur certitude apparente, sont-ils plus crédibles que nous, sous prétexte qu’ils ont plus d’assurance ?

Toujours dans le rituel dans le catéchisme, et à la question Pourquoi votre Maître porte-t-il une équerre sur la poitrine ? Nous sommes invités à faire le bien car « tout comme les pierres brutes doivent être orientées d’après l’équerre, les Frères sont guidés vers la vertu par le Maître. » et que « il s’agit de reconnaître que nous devons guider toutes nos actions conformément à l’équerre de la vérité. » Il est aidé dans sa tâche par le 1er surveillant qui « Tel un polisseur au travail, celui du Frère et des autres Compagnons et Apprentis est souvent mesuré grâce au niveau.Aussi, le Premier Surveillant doit souvent vérifier grâce au niveau que les Frères font leur devoir dans leur construction de la vertu. »

Et par le second surveillant qui doit « également prendre soin que les Frères poursuivent la ligne droite menant à la vertu et à l’honneur et qu’ils remplissent leurs devoirs à l’égard de l’Ordre. »

Ainsi le Maitre PREPARE,  le 1ersurv. AIDE et le second SOUTIENT, preuves s’il en est besoin que faire le bien est une chose de longue haleine, ne demandant aucun relâchement, devant être traité avec persévérance

Lorsque nous parlons de bien et de mal, de quoi parlons-nous d’ailleurs ? sont-ce des forces antagonistes qui s’affrontent ? Des contraires qui ne peuvent exister les uns sans les autres ? Est-ce que la lumière peut luire ailleurs que dans les ténèbres ? Est-ce que la vérité et le mensonge peuvent être séparés de manière aussi tranchée qu’on le voudrait ? La vie et la mort le sont-elles de la même manière ? L’Amour parfois précède la haine, le plaisir et la douleur, la joie et la tristesse, peuvent même se côtoyer, des rires aux larmes, il n’y a qu’un pas. Il n’y a pas de côté pile sans côté face ! Peut-on en déduire qu’il s’agit de l’aspect contraire d’une même chose, que la création divine est à l’origine des deux ? Au paradis seul le Bien était. Le Mal serait-il apparu avec Eve qui croquant la pomme a fait apparaitre un élément nouveau : le choix ? L’homme (et la femme) en étant chassé de ce paradis sont devenus alors acteurs de leur destin. Ne serait-ce pas un « Bien »

La question à se poser est de se demander si ces deux forces doivent rester en équilibre dans un partage équitable comme dans la visualisation du yin et du yang…ou dans l’évocation du bon jumeau et du mauvais jumeau présents dans de nombreuses mythologies.... Le passage du courant électrique nécessite un + et un – pour être ! L’ordinateur que je manie à l’instant fonctionne de manière binaire. Le mouvement,    l’oscillation entre les deux pôles,    le oui et le non créent…de la vie……Cela n’empêche pas,  selon un principe fondamental de la doctrine de Zarathoustra, de cultiver la Sagesse et le savoir pour défendre le Bien, le vrai, le beau à travers l’Univers.

On peut également souhaiter de voir le Bien,  je veux dire le bien absolu l’emporter définitivement, quitte à ce que la matière disparaisse au profit du pur Esprit. C’est ce que pensaient les mithraïstes qui se représentaient la fin du monde comme une conflagration générale entrainant la victoire totale du Bien sur le Mal après un combat source même de l'existence.

Les philosophes et les théologiens placent généralement Dieu "au-delà du Bien et du Mal". A chacun de se faire une idée, mais à l’instar de la plupart des traditions ésotériques qui rejettent l’idée d’un Mal et d’un Bien absolus et opposés, et enseignent que toute action peut être à la fois bonne et mauvaise,  il me plait de penser en revenant à cette image du symbole chinois du taiji :  l’union du yang (clair, masculin, céleste) et du yin (sombre, féminin, terrestre) que l’équilibre des contraires est nécessaire pour qu’apparaisse le monde des formes. Chacun n’existe que par rapport à l’autre, dont il porte en lui l’embryon, et peut se transformer en son inverse. « Il n'y a aucun mal dont il ne naisse un bien. » disait le Marquis de Sade mais on pourrait ajouter « il n’y a aucun bien dont il ne naisse un mal ».

Alors que dois- je faire ? Quelle est la Règle d’Or pour ne pas se tromper ? Comment faire….  Bien ! : "Il faut se conduire avec ses amis comme on voudrait les voir se conduire avec soi." Disait Aristote IV e siècle av. J.-C. !

Faire…au mieux.    Mais …. Je fais de la course à pied…c’est un bien, cela me bloque le genou…c’est un mal. Je choisi de continuer estimant que le bien produit est supérieur au mal engendré. Mais je conçois qu’un autre puisse dans des circonstances analogues faire un choix différent. D’ailleurs seul l’avenir me dira si j’ai eu raison d’insister. Et encore !même si j’ai eu tort de me bousiller un genou, cela me sauve peut être d’une maladie. Il y a tant de ramifications possibles à notre vie et à nos actes…Il en est de même de nos actions, nous tentons d’être juste, honnête, mais concevons qu’un autre puisse considérer nos actions comme mauvaises et préjudiciables…en fait la question véritable n’est-elle pas, est ce que le bien et le mal existe …vraiment? fondamentalement? Peut- être que le mal n’est qu’une invention humaine, fruit de la conscience morale et de notre aptitude à juger ?

Il est admis de penser que les animaux ne s’interrogent pas sur leurs actes et leurs conséquences. Ils seraient indifférents à la souffrance qu'ils engendrent (quoique…). Ils agiraient plutôt par un instinct basé sur un processus de survie laissant peu de place à la bienfaisance et à la compassion.  Cela permet au moins de vivre pleinement le moment présent.  Leur esprit n'a pas besoin de se projeter dans l'avenir ou dans le passé. Ni de s'interroger sur la droiture de leur conduite.  Font- ils plus de mal que de bien pour autant ? Que ce soit à eux même, à l’espèce ou au monde ? Pas certain !

Pourtant du haut de notre humanité, capable d’interroger le passé pour, prétendons nous, dominer l'avenir, nous disons remplacer l’instinct et notre bestialité initiale par la conformité de nos actes avec la morale et la loi. Qu’en est- il vraiment ? Une même pulsion conduit le petit délinquant de banlieue, le PDG ou le journaliste à dérober un scooter, des millions ou une idée aux autres ? Mais seul le premier à nos yeux fait mal, les autres ? Des affaires ! Ou est vraiment le bien,  et le mal dans tout cela !

Tout cela fait de nous des êtres bien souvent contradictoires. Des êtres souffrants du décalage entre ce qu'on voudrait être (l'idéal moral) et ce qu'on est réellement. Et puis, le Bien individuel est-il toujours en accord avec le bien collectif ? C’est pour cette raison que les Maitres « chez nous » ont, bien sûr, le devoir de transmettre, mais pas une vérité toute faite, prédigérée. Mais simplement transmettre les outils pour que chacun puisse se construire,       construire sa propre approche du Bien et du Mal.   Car comme le disait SPINOZA : « Nous avons déjà dit que toutes choses sont nécessaires, et que dans la nature il n'y a ni bien ni mal »

La jeunesse, (pas dans le sens de l’âge, mais du manque de maturité qui est « hors d’âge »),  le manque d’expérience, font que d’aucuns sont sur de ce qu’il convient de faire. Je reconnais que parfois même le fait d’être convaincu force le destin mais cette phrase «Le mal se reconnaît aussi bien par un côté agréable que le bien parun aspect désagréable, un Maçon se doit de s’y consacrer précisément » comme ce conte doivent nous inviter au pragmatisme. C’est son seul but. Arriver à la conclusion que nous ne détenons pas forcément la vérité, que notre vérité peut être différente que celle de son voisin et ce suivant de nombreux critères tels que l’angle de vue, notre évolution sociale, spirituelle, nos expériences, etc.…   

La sagesse, quête permanente de l’homme n’est pas innée et s’acquière en partie par l’expérience de la vie mais pas seulement Cette sagesse est visible par la qualité des raisonnements mais également et surtout par l’acceptation que pour l’autre, il peut en être autrement et que s’il est dans l’erreur (à notre avis) il n’en est pas forcément responsable.

Au fond, la vraie loi qui doit dicter notre comportement,  c’est celle de notre conscience. Avec un mot fort « LA COMPASSION » qui doit nous permettre de faire au mieux.

Et ma conscience aujourd’hui, me fait dire : je vous ai assez torturé !

Du Bonheur

Le bonheur est-il un événement heureux, un état de bien être ou ce qui rend heureux ?

Que procure le bonheur ?

Une satisfaction, un état de paix, la joie, la béatitude, la fortune, la prospérité ?

Qui éprouve du bonheur ?

Un individu, un groupe, un ensemble ?

Dans quel environnement ?

Matériel, spirituel ?

Qui est concerné ?

L’ego, l’Etre ?

Qui est le plus grand ?

Ce ne peut être que l’Etre, l’ego est mortel.

L’ecclésiaste

« 2:1 J'ai dit en mon cœur: Allons! je t'éprouverai par la joie, et tu goûteras le bonheur. Et voici, c'est encore là une vanité. »

« 3:9 Quel avantage celui qui travaille retire-t-il de sa peine?

3:10 J'ai vu à quelle occupation Dieu soumet les fils de l'homme.

3:11 Il fait toute chose bonne en son temps; même il a mis dans leur cœur la pensée de l'éternité, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin.

3:12 J'ai reconnu qu'il n'y a de bonheur pour eux qu'à se réjouir et à se donner du bien-être pendant leur vie;

3:13 mais que, si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c'est là un don de Dieu.

3:14 J'ai reconnu que tout ce que Dieu fait durera toujours, qu'il n'y a rien à y ajouter et rien à en retrancher, et que Dieu agit ainsi afin qu'on le craigne.

3:15 Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé. »

« 6:1 Il est un mal que j'ai vu sous le soleil, et qui est fréquent parmi les hommes.

6:2 Il y a tel homme à qui Dieu a donné des richesses, des biens, et de la gloire, et qui ne manque pour son âme de rien de ce qu'il désire, mais que Dieu ne laisse pas maître d'en jouir, car c'est un étranger qui en jouira. C'est là une vanité et un mal grave.

6:3 Quand un homme aurait cent fils, vivrait un grand nombre d'années, et que les jours de ses années se multiplieraient, si son âme ne s'est point rassasiée de bonheur, et si de plus il n'a point de sépulture, je dis qu'un avorton est plus heureux que lui.

6:4 Car il est venu en vain, il s'en va dans les ténèbres, et son nom reste couvert de ténèbres;

6:5 il n'a point vu, il n'a point connu le soleil; il a plus de repos que cet homme.

6:6 Et quand celui-ci vivrait deux fois mille ans, sans jouir du bonheur, tout ne va-t-il pas dans un même lieu?

6:7 Tout le travail de l'homme est pour sa bouche, et cependant ses désirs ne sont jamais satisfaits. »

« 7:14 Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis: Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne découvre en rien ce qui sera après lui. »

«8:12 Cependant, quoique le pécheur fasse cent fois le mal et qu'il y persévère longtemps, je sais aussi que le bonheur est pour ceux qui craignent Dieu, parce qu'ils ont de la crainte devant lui.

 8:13 Mais le bonheur n'est pas pour le méchant, et il ne prolongera point ses jours, pas plus que l'ombre, parce qu'il n'a pas de la crainte devant Dieu.

8:14 Il est une vanité qui a lieu sur la terre: c'est qu'il y a des justes auxquels il arrive selon l'œuvre des méchants, et des méchants auxquels il arrive selon l'œuvre des justes. Je dis que c'est encore là une vanité.

8:15 J'ai donc loué la joie, parce qu'il n'y a de bonheur pour l'homme sous le soleil qu'à manger et à boire et à se réjouir; c'est là ce qui doit l'accompagner au milieu de son travail, pendant les jours de vie que Dieu lui donne sous le soleil. »

Certes, le bonheur terrestre est une bonne chose. Cependant sa seule recherche n’est que « vanité et poursuite du vent ».

Livre de la Sagesse - Chapitre 2

« 01 Les impies ne sont pas dans la vérité lorsqu'ils raisonnent ainsi en eux-mêmes :« Notre existence est brève et triste, rien ne peut guérir l'homme au terme de sa vie, on n'a jamais vu personne revenir du séjour des morts.

02 Nous sommes nés par hasard, et après, nous serons comme si nous n'avions pas existé ; le souffle de nos narines s'évanouit comme la fumée, et la pensée est une étincelle qui jaillit au battement de notre cœur :

03 si elle s'éteint, le corps s'en ira en cendres, et l'esprit se dissipera comme une brise légère.

04 Avec le temps, notre nom tombera dans l'oubli, et personne ne se rappellera ce que nous aurons fait. »

Et de cet état nait : « la loi c’est ce que nous faisons »

Il s’agit là de l ‘ évocation de la règle principale de notre adversaire, de Satan comme l’appelle Jésus, qui s’ouvre justement sur une liberté totale, qui veut nous couper de Celui qui Est dans Sa Gloire. Tant pis pour ceux qui ont adoré le séducteur, il arrive pour exaucer tous leurs désirs, l’épée à la main pour libérer les bêtes sauvages qui les dévorent, pour dévaster tous les semis de leurs espoirs, flatter toutes leurs perversions, toutes leurs dépendances, les asservir dans l’abolition de tous les interdits, leur enlever toute identité, les « indifférencier ».  La Géhenne sera leurs demeures, loin de notre Seigneur et Maître.

La loi c’est que nous faisons. Dans ce cas nous nous soumettons volontairement au grand séducteur, à l’adversaire. Il nous dit vous serez comme Dieu.

Psaumes

« 128:1 Cantique des degrés.

Heureux tout homme qui craint l'Eternel,

Qui marche dans ses voies!

128:2 Tu jouis alors du travail de tes mains,

Tu es heureux, tu prospères.

128:3 Ta femme est comme une vigne féconde

Dans l'intérieur de ta maison;

Tes fils sont comme des plants d'olivier,

Autour de ta table.

128:4 C'est ainsi qu'est béni

L'homme qui craint l'Eternel.

128:5 L'Eternel te bénira de Sion,

Et tu verras le bonheur de Jérusalem

Tous les jours de ta vie;

128:6 Tu verras les fils de tes fils.

Que la paix soit sur Israël! »

Matthieu – Jésus-sermon sur la montagne-

« 5:3 Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux!

5:4 Heureux les affligés, car ils seront consolés!

5:5 Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre!

5:6 Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés!

5:7 Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde!

5:8 Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu!

5:9 Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu!

5:10 Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux!

5:11 Heureux serez-vous, lorsqu'on vous outragera, qu'on vous persécutera et qu'on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi.

5:12 Réjouissez-vous et soyez dans l'allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les cieux; car c'est ainsi qu'on a persécuté les prophètes qui ont été avant vous. »

Ceux qui craignent l’Eternel, qui sont un profond respect, dans une humilité totale, sont heureux comme nous le décrit Jésus. Ils sont sur le chemin de l’Amour qui ne connait pas la haine, la méchanceté et la violence.

Quelles sont donc les attributs de l’Amour pour Paul ?

« L’Amour est patient,  plein de bonté;  n'est point envieux;  ne se vante point,  ne s'enfle point d'orgueil, ne fait rien de malhonnête, ne cherche point son intérêt,  ne s'irrite point,  ne soupçonne point le mal, ne se réjouit point de l'injustice, mais se réjouit de la vérité Il excuse tout,  croit tout,  espère tout,  supporte tout. L’Amour ne périt jamais. » 

Craignons l’Eternel,

Luc

« 12:4 Je vous dis, à vous qui êtes mes amis: Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui, après cela, ne peuvent rien faire de plus.

12:5 Je vous montrerai qui vous devez craindre. Craignez celui qui, après avoir tué, a le pouvoir de jeter dans la géhenne; oui, je vous le dis, c'est lui que vous devez craindre.

12:6 Ne vend-on pas cinq passereaux pour deux sous? Cependant, aucun d'eux n'est oublié devant Dieu.

12:7 Et même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc point: vous valez plus que beaucoup de passereaux.

12:8 Je vous le dis, quiconque me confessera devant les hommes, le Fils de l'homme le confessera aussi devant les anges de Dieu;

12:9 mais celui qui me reniera devant les hommes sera renié devant les anges de Dieu.

12:10 Et quiconque parlera contre le Fils de l'homme, il lui sera pardonné; mais à celui qui blasphémera contre le Saint-Esprit il ne sera point pardonné. »

Respectons l’Eternel, restons fidèle et loyal dans notre engagement, acceptons avec joie que l’Eternel nous corrige lorsque nous chutons.

L’Ecclésiaste

« 1:15 Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté. »

« 7:13 Regarde l'œuvre de Dieu: qui pourra redresser ce qu'il a courbé? »

L’Eternel nous a- t- il fait courber ? Nous a-t-il fait courber pour que, malgré nos épreuves nous restions étranger à la haine ? Dans ce cas, je suppose en toute humilité, que L’Eternel, seul, nous aidera, nous redressera.

Jacob, celui qui n’était pas droit, dévié, à la suite de son combat avec un Messager de l’Eternel est devenu Israël, celui qui est droit. L’Eternel l’a redressé. Il est tout à fait normal de supposer avec humour, qu’après cette intervention, Israël boite un peu.

L’Etre éveillé en chacun de nous est concerné, nous sommes concernés. Cette âme nouvelle verra le bonheur. Le corps ne voit rien, n’entend rien. Il est un carré noir qui doit s’illuminer. Tout deviendra blanc.

Jésus nous dit bien que celui qui est heureux recevra une grande récompense. Il verra le bonheur de Jérusalem de son vivant, ce qui l’attend.

Craignons l’Eternel !

Livre secret de Jean

« C’est l’arbre de leur vie qu’ils ont placé au milieu du paradis. Mais moi, je vous enseignerai quel est le mystère de leur vie, c’est-à-dire le projet qu’ils ont fait ensemble de (fabriquer) la ressemblance de leur esprit.

« (Cet arbre) est celui dont la racine est amère et dont les branches sont mortes. Son ombre est haine et il y a de la tromperie dans ses feuilles. Sa fleur est l’onction de la perversité et son fruit la mort. Sa semence est désir et fleurit dans l’obscurité. Ceux qui goûtent à cet (arbre), leur lieu de séjour est l’Hadès et l’obscurité leur lieu de repos. »

S’agit-il du blasphème contre l’Esprit ?

Certainement. L’Eternel éradiquera tous les hommes prévaricateurs.

Pourquoi ? Qui construit ?

Psaumes

« 127:1 Cantique des degrés. De Salomon.

Si l'Eternel ne bâtit la maison,

Ceux qui la bâtissent travaillent en vain;

Si l'Eternel ne garde la ville,

Celui qui la garde veille en vain.

127:2 En vain vous levez-vous matin, vous couchez-vous tard,

Et mangez-vous le pain de douleur;

Il en donne autant à ses bien-aimés pendant leur sommeil.

127:3 Voici, des fils sont un héritage de l'Eternel,

Le fruit des entrailles est une récompense.

127:4 Comme les flèches dans la main d'un guerrier,

Ainsi sont les fils de la jeunesse.

127:5 Heureux l'homme qui en a rempli son carquois!

Ils ne seront pas confus,

Quand ils parleront avec des ennemis à la porte. »

L’Eternel nous construit avec ses Supérieurs. Lui seul garde la Ville « L’Eternel est ici. » Ezéchiel dans Sa toute Puissance. Nous ne serons pas confus. Nous n’aurons pas honte de notre nudité puisque l’Eternel nous aura vêtu de blanc et de rouge. Dans ce cas pourrons- nous le connaître autrement que de dos sans mourir ?

Devenons Job, un serviteur souffrant et persévérant qui malgré la perte de son bonheur terrestre,  cherchera sans relâche le bonheur de se retrouver à nouveau sous le regard de Dieu, bonheur qu’il pensait avoir perdu. 

Exode « 19:25 Moïse descendit vers le peuple, et lui dit ces choses.
20:1 Alors Dieu prononça toutes ces paroles, en disant:
20:2 Je suis l'Éternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude.
20:3 Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face.
20:4 Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
20:5 Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent,
20:6 et qui fais miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements.
20:7 Tu ne prendras point le nom de l'Éternel, ton Dieu, en vain; car l'Éternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain.
20:8 Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier.
20:9 Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage.
20:10 Mais le septième jour est le jour du repos de l'Éternel, ton Dieu: tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes.
20:11 Car en six jours l'Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour: c'est pourquoi l'Éternel a béni le jour du repos et l'a sanctifié.20:12 Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l'Éternel, ton Dieu, te donne.
20:13 Tu ne tueras point.
20:14 Tu ne commettras point d'adultère.
20:15 Tu ne déroberas point.
20:16 Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.
20:17 Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain »

Matthieu 22:37

« Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. »

Aimes Le en Esprit et vérité dégagé de la matérialité.

Aimer son prochain comme soi- même permet de faire régner l’harmonie parmi les hommes.

 

Gloire à Son Nom !

 

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